Asia Bibi et les BONOBOS !
Pour la survie d’Asia BIBI, de ses 3 filles et de son époux, au nom de Dieu.
Nous sommes tous frères bien sûr et d’une seule espèce l’Homme Sapiens Sapiens mais cela ne veut pas dire que toutes les ethnies de notre espèce ont le même degré de développement. Rappelons que la violence, et le fanatisme sont liés aux religions et que la religion dominante au XXI° sera celle des musulmans qui n’ont jamais fait preuve d’humilité, de charité, de tolérance et/ou d’ouverture d’esprit dans notre siècle ;auparavant, les sages musulmans étaient un exemple et ce sont eux qui nous ont transmis par les textes en arabes la grande sagesse des hellénistes. Même mes amis de longue date, se baladent à présent en boubou blanc avec un petit callot blanc sur la tête et passent tellement de temps à la mosquée qu’ils en perdent la finesse des relations humaines. Lors d’une dernière action au Mali, j’ai heurté des vendeurs FNAC de Liège parce que je demandais des exemplaires du Coran sous cellophane ; leurs courroux était légitime, d’autant plus que ces Corans sont fabriqués en France par des infidèles français qui souillent ainsi toutes les pages. Mais ma motivation était calculée, celle de planter 1000 plants d’un arbre alimentaire tout autour de l’école mixte de Nando avec la bénédiction de l’Imam. Le projet a été réalisé, j’ai donné mes Corans ainsi que des noix de cola et j’ai mené à bien mon projet sans me faire détruire par la rumeur.
Au-delà de leurs meurtres aveugles d’innocents et des femmes et de la terreur régulière qu’ils organisent envers le genre féminin, les croyants, non pas les croyants du Sahel mais ceux d’Afghanistan ayant migré pour un demi-million d’hommes au Pakistan, organisent à présent la terreur due au blasphème. Ceci signifie – pour l’OTAN qui n’entend pas toujours clair – que n’importe qui disant de son voisin qu’il a blasphémé le nom d’HITLER sera puni de mort. Notons – cerise sur le gâteau – que les Etats-Unis sont les principaux protecteurs de ce peuple de fous. Par solidarité envers les droits de l’homme et contre toute les atteintes à ceux-ci, malgré ma tolérance et mon amitié envers mes frères musulmans pacifistes, je n’ai pas le choix, je dis : « VIVENT les caricatures ! » par solidarité et je lance une fatwa laïque et symbolique (chez nous, on ne tue pas des innocents) contre ces tueurs incapables de construire des écoles pour leurs enfants mais bien d’en faire de futurs martyrs d’un Dieu miséricordieux (dans le Coran mais pas dans les Hadjis), que la malédiction d’Allah, qui me comprend, soit sur leurs têtes. Qu’on leur donne tout de suite 72 vierges et qu’ils puissent vivre naturellement leur sexualité et libérer dans leurs cerveaux de l’Ocytocine qui les rendra pacifistes au lieu de fous dangereux pour l’humanité.
Le 14.05 sur TV5MONDE, dans l’émission « Envoyé spécial », un des thèmes était le Pakistan. Ce pays dirigé par Ali BHUTTO assassiné(pendu ) lors du coup d’Etat de Zia Ul-Haq, l’ami des américains a déjà vécu, il y a vingt ans, une vague de barbarie où la charia était rétablie à la lettre. A cette époque, militant d’Amnesty International, j’écrivais au dictateur pour implorer sa clémence pour des voleurs à qui on allait couper les deux mains, pour un paralytique que l’on allait jeter de son fauteuil pour le fouetter et pour des femmes infidèles (jamais des hommes) que l’on lapidait jusqu’à ce que mort s’en suive. Les américains n’ont jamais été très subtils (des mickeys) et lorsqu’ils ont pris le Pakistan comme base arrière pour lutter (guerre froide) contre l’ennemi soviétique qui envahissait l’Afghanistan, ils n’ont pas compris qu’un demi-million de talibans s’exilaient au Pakistan pour combattre un jour les chrétiens qu’ils sont.
En janvier 1011, le gouverneur du Penjab (le plus grand état du Pakistan) a été assassiné par son garde du corps. Salman TASEEM était l’un des rares hommes politiques à dénoncer publiquement l’islamisation du Pakistan. Il avait pris fait et cause pour Asia BIBI, une paysanne chrétienne condamnée à la pendaison pour blasphème. A la suite d’une dispute pour un verre d’eau, deux voisines musulmanes (les instigatrices du crime à venir) l’avaient en effet accusée d’avoir insulté le prophète Mahomet. On a bien sûr envie de vomir à l’idée que cette secte existe et certains pensent que raser l’Afghanistan et le Pakistan sous une explosion atomique faciliterait l’advenir d’une communauté humaine plus centrée sur la raison. Ce sera là le discours épidermique des gens d’extrême-droite.
Ethologie comparée avec les singes BONOBOS
Des projets de réinsertion du BONOBO ont lieu dans la province de l’Equateur du Congo RDC aux alentours de la ville de Basankusu sur la rivière MARINGA. Lorsque je travaillais dans cette région en 1968-1970, je disais déjà que le premier pas à faire pour la sauvegarde de la diversité biologique était dans la généralisation de l’instruction (comme en Afghanistan et Pakistan). J’ai vu de magnifiques grands singes colobes, dit « Magistrats » pour les longs poils blancs qu’ils développent à partir des tempes, être abattus par de petites fléchettes NGOMBE trempées dans une sorte de curare. Ce phénomène de la chasse et de la surchasse n’est pas spécifique à la RDC ; en effet, dans un petit maquis (restaurant populaire) de Côté d’Ivoire, j’ai vu une casserole où mijotait un jeune chimpanzé avec une petite main (très humaine) crispée sur le bord de la casserole. C’est choquant de s’alimenter d’une espèce aussi proche de nous et de la massacrer dans ce but. Tout comme le cannibalisme qui, consiste aujourd’hui à déterrer un cadavre frais et de à consommer rituellement (et cuit) pour s’approprier sa force ( tout en conservant les mains cachées dans le paillage de la toiture pour en faire des charmes). Mais le plus ignoble, c’est de lancer une accusation de blasphème sur un autre être humain parce qu’il a bu à notre verre. C’est là le sommet de l’horreur, de la méchanceté et de la violence suscitée ! [1]
Le « French Kiss » est spécifique. Les chimpanzés tendent les lèvres pour faire un bisou mais un gardien de zoo plutôt habitué aux chimpanzés fut surpris de la langue du primate dans sa bouche quand il accepta un baiser d’un Bonobo. Pour le gardien, ce geste était l’expression d’un contact amical non sexuel. Or, ce signe est un signe d’amour et de confiance (autre que de boire au verre d’eau d’une musulmane haineuse) car la langue peut être mordue par les dents de l’autre. Dans le baiser, il y a échange de salive, de bactéries, de virus et d’aliments, non pas un chewing-gum d’ados qui change de bouche mais par exemple le début d’un sevrage : la maman donne aux petits des morceaux d’aliments prémâchés en avançant sa lèvre inférieure dans la bouche ouverte du bébé.
Les Bonobos ne travaillent pas, ne se maquillent pas, jouent beaucoup, ne voyagent pas (sauf de temps en temps sur la canopée) mais développent une activité érotique fébrile et sans complexe.
Le pénis du Bonobo est plus étroit et entièrement rétractile (proportionnellement plus long de taille que celui de l’humain), les testicules font plusieurs fois le volume de ceux de l’humain. Les femelles arborent d’énormes tumescences rose fluo de la taille de ballons de football sur le postérieur (= disponible). La femelle préfère l’accouplement frontal (position du missionnaire) et les mâles par l’arrière, mais les femelles forcent le choix en se couchant sur le dos. Le clitoris pointe à l’horizontale comme un petit doigt, son utilité est d’être source de plaisir et d’orgasme afin que la sexualité soit une expérience agréable et volontiers renouvelée.
Les Bonobos ont-ils vraiment besoin d’une telle débauche d’activités sexuelles ? Et nous, humains, pourquoi ne pas nous cloner (entre pakistanais pieux) pour éviter le péché de chair ? Faire par exemple comme les voisins Indiens, véritables fourmis laborieuses, nous concentrer sur un monde performant au niveau du travail et d’un ennui mortel ?
Une des lois de la jungle des plus cruelles est que le prédateur, un lion par exemple, va tuer tous les petits de ses lionnes pour assurer sa descendance à lui ; cette pratique d’infanticide n’a pas lieu chez les Bonobos qui sont trop rapides pour « tirer leurs coups » et donc chez qui on ne saurait dire qui est le père de qui. Les femelles gagnent ainsi au fond à convaincre les mâles de copuler, nous sommes dans un changement évolutionniste. En acceptant les avancées de nombreux mâles, la femelle se prémunit contre l’infanticide car aucun de ses partenaires ne peut éliminer la possibilité que le petit soit le sien. Notons enfin les bienfaits de l’hormone OCYTOCINE (qui stimule les contractions de l’utérus, la montée du lait et qui réduit l’agressivité). On a trouvé qu’après une activité sexuelle , la synthèse de cette hormone dans le cerveau du mâle connaît un pic et lui donne un sentiment de bien-être, une attitude pacifiste. L’anthropologue américaine Sarah Blaffer HRDY va encore plus loin avec cette lutte contre l’infanticide humain : les enfants sont plus exposés à des violences de la part des beaux-pères que de leurs pères biologiques. La Bible montre Pharaon faisant tuer tous les nouveau-nés d’Egypte, le roi Hérode fait massacrer dans Bethléem tous les enfants de moins de 2 ans, et le vainqueur tue la progéniture des femmes faites prisonnières-esclaves.
L’organisation sociale des primates a été aussi bien étudiée par le sociologie Serge MOSCOVICI (« La société contre nature »). Si la horde doit se déplacer en savane, hors de l’abri des grands arbres, elle se déplace en trois cercles imbriqués. Au centre le mâle alpha, les jeunes femelles et les petits, le deuxième cercle est formé des femelles plus âgées et non en charge d’un petit et enfin le troisième cercle est constitué des mâles surnuméraires qui sont là pour être croqués en priorité par les prédateurs.
Dans presque toutes les espèces, les mâles sont polygames. Mais il existe parfois des familles nucléaires comme chez l’homme occidental, les manchots EMPEREUR et les poissons Kribensis des CICHLIDE. La première hypothèse fut la tendance des mâles à accompagner les femelles avec lesquelles ils s’étaient accouplés pour protéger les jeunes de l’infanticides d’autres mâles. Puis il y eut l’aide aux soins par le père pour attraper des branches trop hautes par exemple. Et enfin la dominance et le paternalisme d’un genre sur l’autre en totale opposition aux droits de l’homme.
Notons que dans notre espèce la femelle (comme le mâle) n’est que modérément fidèle. Si la fidélité avait été utile pour l’évolution, son appétit sexuel se serait limité à la période de l’ovulation signalée aux regards lubriques des mâles. C’est donc une pure légende de croire les hommes polygames et non les femmes ; c’est pourquoi, les hommes ont inventé l’institution du mariage et les mutilations sexuelles. Notons que les femmes Bonobos ont le plus souvent des tumescences rose à l’arrière-train, au-delà des cycles.
Il y a une corrélation manifeste entre l’excision et le monde arabo-islamique. L’âge moyen des mutilations des petites filles est de 2 à 5 ans, ou de 8 à 11 ans selon les tribus. L’excision est pratiquée par une femme non formée, avec des risques sanitaires, à la maison ou lors d’une retraite rituelle en forêt, elle consiste en majorité en la cliteroctomie et en la nymphectomie (ablation des petites lèvres). 20% des mères dans les villes abandonnent cette pratique coutumière pour leurs filles mais les grand-mères les raptent pour les faire « couper » lors d’une absence fortuite de la mère.
Pour mémoire, rappelons avec la chercheuse Madame MOTTIN SYLLA[2] ,que l’excision recommandée par l’islam avec l’ablation du capuchon du clitoris et des petites lèvres dite SUNNA est la plus pratiquée. Notons en passant que, selon la chercheuse, la zone érogène du clitoris compte 8 mille terminaisons nerveuses rien que dans le capuchon.
Le type II consiste à enlever le clitoris et les petites lèvres ainsi qu’une partie des grandes lèvres. Le type III dit INFIBULATION ou excision pharaonique (Afrique de l’Est) consiste en l’ablation profonde du clitoris, à la coupe des petites lèvres et à la coupe des bords des grandes lèvres, les bords de la plaie sont alors rejoints par suture au fil ou à l’aide d’épines et les deux grandes lèvres (plaie ouverte) cicatrisent entre elles (le taf) pour obstruer quasi-complètement l’entrée du vagin, avec des pailles (milieu propre aux amibes), on aménage un petit orifice pour les urines et les menstrues. Outre les complications sanitaires déjà exposées dans la première partie (septicémie, incontinence, hémorragie, douleurs chroniques, douleurs lors du coït et angoisses récurrentes), la chercheuse sénégalaise évoque également le GABE, ce qui veut dire en peul « grain de mil », des sortes de verrues couvrant la paroi vaginale et qui seraient dues – la chercheuses est ici imprécise - à des champignons ou à un virus (herpès génital) et peuvent être arasées par l’exciseuse à la lame de rasoir (service après vente ?). Lorsque la femme a ce genre de boutons, elle passe tout son temps à se gratter dit la chercheuses et le gabé (avoir ses soccantes) peut égratigner le partenaire sexuel lors de ses ébats…dans le vagin.
Des études actuelles sujettes à caution, réalisées dans les années 1990 aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne font état d’une proportion d’homosexuels exclusifs de moins de 1%. Le rapport américain KINSAY, lui annonçait déjà une moyenne de 5% d’homosexuels dans la population humaine. Je ne crois pas à ces chiffres, les humains peuvent être, comme les Bonobos ,« à voile et à vapeur » et être à 100% bisexuels selon l’occasion du moment, lorsque ce qui a été considéré comme un crime par nos églises est à nouveau considéré comme un jeu entre partenaires adultes et consentants. Notons toutefois que l’homosexualité était punie de mort en Ouganda (la loi vient d’être retirée ce jour devant le tollé d’internet) ainsi qu’au Burundi. Serait-ce de la propagande politique pour la famille hétéro aussi bien bonne chrétienne que bonne musulmane ? Ce sont là des chancres induits par les parasitages religieux.
Regardons mieux cette affaire du 14.05.11 au Penjab du Pakistan : Madame BIBI a bu dans son village, un verre d’eau appartenant à une musulmane, c’est un blasphème et elle doit être exécutée dit face caméra la délatrice frustrée de son verre d’eau car en plus elle a manqué de respect à Allah le miséricordieux et doit donc être exécutée. Je recommande l’ouvrage de l’anthropologue BLAFFER HYDR, dont le titre est le programme : « la femme qui n’évoluait jamais ! ». Ce sont certaines hystériques, de grandes malades qui ont remplacé (ou jamais développé) la raison élémentaire au profit de la haine, formées en cela par leurs époux talibans.
« Les mâles n’ont eu de cesse de juguler la sexualité des femmes.. A une période récente, nous avons pu voir l’expression extrême de cette volonté d’assujettissement dans le régime des Talibans en Afghanistan. Leur ministère pour la préservation de la vertu et la prévention du vice ordonna que les femmes qui laissaient voir leurs visage et chevilles soient fouettées sur la place publique. »[3] La sexualité BONOBO n’a rien à voir avec ces déviances psychotiques ou névrotiques, elle est caractérisée par la spontanéité. Nous nous utilisons nos mains pour un shake-hand pour nous saluer et eux un frotti-frotta mais ils ne se massacrent pas entre eux. Lorsque nous avons compris l’horreur du fascisme, nous avons tous dit : « plus jamais cela ». Aujourd’hui, nos flamands veulent l’amnistie pour les collaborateurs et les talibans ont dynamité les grands Bouddha de Bamyan, chef d’œuvre du patrimoine de l’humanité et détruisent la civilisation humaine avec notre complaisance. Organisons un embargo total, un retrait de toutes les troupes et plus une seule aide à ces barbares qui se tueront entre eux, entre fanatiques religieux et corrompus ; il ne s’agit pas de les massacrer à la bombe atomique (ils la possèdent eux aussi), il s’agit de façon radicale de fermer tous les robinets d’argent, tous tant que les droits de l’homme ne sont pas respectés au même titre que le Coran. Cette loi anti-blasphème actuelle correspond à la loi nazie où les enfants des jeunesses nazies pouvaient dénoncer leurs propres parents, c’est le même principe.
Pour revenir à notre espèce en général, les mâles dominants ont toujours eu le droit de cuissage depuis le moyen-âge et/ou de harem de collection. Avec les comparaisons ADN des anthropologues d’aujourd’hui, on a prouvé que les hommes puissants avaient plusieurs femmes et une progéniture nombreuse. En Asie centrale, des études sur le chromosome Y ont montré que 8% des hommes avaient un chromosome Y quasi-identique ; donc, un mâle alpha ancestral eut 16 millions de descendants mâles : GENGIS KHAN, le grand inséminateur d’il y a 1000 ans. Les jeunes captives n’étaient pas distribuées aux soldats mais réservées au grand mongol en personne, qui ne faisait pas l’amour mais toujours la guerre. Rappelons une fois encore que les hommes dominent les femmes soit par une formatage éducationnel plus strict sur la notion de péché chez nous, soit par des mutilations barbares enlevant le plaisir des femmes des mondes musulmans.
Attention toutefois à cette ébauche d’étude comparée avec nos cousins les primates, je fais l’hypothèse que les américains créationnistes qui jouent aux gendarmes du monde et enferment aujourd’hui (ils font tellement d’ingérence qu’ils ne se rendent plus compte ) un présidentiable français prévenu non jugé, Dominique Strauss Khan (soit un mépris des droits à la défense). Ils sont, comme nous, proches des chimpanzés. Les chimpanzés sont comme nous des omnivores et consomment 35 espèces de vertébrés, ils sont carnivores et ivres de pouvoir. En Ouganda et en Tanzanie, certains chimpanzés entrent dans les cases voler les bébés pour les manger et comme les hommes, ils peuvent sans état d’âme se tuer entre eux. En état d’attaque, les chimpanzés peuvent devenir presque aussi cruels que les humains.« A l’ université américaine de STANFORD, dans le cadre de la construction d’une identité de groupe, les étudiants furent répartis entre gardiens et prisonniers dans un jeu de rôles carcéral. Ils étaient censés cohabiter pendant deux semaines dans un sous-sol. Au bout de six jours, il fallut mettre un terme à l’expérience, car les « gardiens » étaient devenus de plus en plus arrogants, brutaux et cruels provoquant un début de mutinerie chez les « prisonniers ». Les étudiants avaient-ils oublié qu’il s’agissait d’une simple expérience et que les rôles avaient été distribués à pile ou face ?(…)L’expérience carcérale de Stanford » gagna en notoriété quand il apparut que des officiers américains avaient torturé à la prison d’Abou Ghraib, à Bagdad. Les gardes américains usèrent d’une vaste panoplie de techniques de torture, parmi lesquelles le port d’une cagoule et la fixation de fils électriques aux organes génitaux des prisonniers. Certains commentateurs des médias américains tentèrent de minimiser ces pratiques en les qualifiant de « dérapages », mais des dizaines de prisonniers y laissèrent leur vie. Outre des similitudes frappantes avec la brutalité et les connotations sexuelles de l’expérience de Stanford, gardiens et prisonniers à Abou Ghraib étaient de races différentes, de religions différentes, et parlaient des langues différentes. Ces facteurs rendirent l’entreprise de déshumanisation encore plus facile pour les gardes. »[4]Dans ce regard croisé, entre les plus civilisés de nos cousins primates et les plus barbares de nos ethnies, ne pourrait-on pas conseiller aux musulmans d’Afghanistan/Pakistan de faire tuer tous les enfants chrétiens ? Qui est le plus primitif du BONOBO ou l’Imam Taliban ?
Pour conclure brièvement et pacifiquement, nous pourrions mettre tous sur la toile notre demande de ne plus soutenir d’aucune façon ces pays barbares, un blocus total aussi bien de la PAM que de la corruption aux dirigeants et nous afficher tous blasphémateurs d’Allah (même si cela compte peu pour des incroyants) comme liberté d’opinion de façon à faire corps au-delà des frontières avec Asia BIBI et si certains d’entre nous sont tués par ces mabouls, tant mieux, cela forcera l’OTAN à réagir avec une réelle efficacité technologique. Rappelons-nous le rêve de Martin Luther KING. Dieu n’est pas grand, il est petit, mesquin et cruel ! Mon Seigneur, mon Dieu, que tu t’appelles Allah, Shiva ou Yahvé, s’il te plaît arrête de ne pas intervenir – comme tes papes lors du massacre des juifs par les nazis – ta nullité est cosmique et ton influence fantasmée mortelle a tellement accumulé les crimes contre l’humanité que, si tu existais, par loyauté pour notre seule espèce Homo Sapiens Sapiens, nous combattrions contre toi pour les forces de Satan qui ne pourraient pas imaginer un enfer pire que celui que tu génères par la haine de tous contre tous, les hommes contre les femmes, les musulmans contre les chrétiens, les américains contre le reste du monde. S’il te plaît, laisse nous respirer et vivre naturellement comme tes autres créatures, les Bonobos.
Jean-Marie LANGE, 22.05.2011
[1] BOBOBO, film D’Alain TIXIER, France, 2010 avec la primatologue Claudine ANDRE.
[2] MOTTIN SYLLA Marie-Helène, Excision au Sénégal, Dakar, Etudes et recherches n°37, nov.1990.
[3] De Waal Frans, Le signe en nous, Paris, Fayard/Pluriel, 2011, p.142.
[4] De Waal, ibid., p.171-172.
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