Le sacré et l'éducation II
Pour l'éveil d'une résistance non-violente des droits de l'homme en Occident
"Non loin de la gare du Midi à Bruxelles, Luckas Vander Taelen, député flamand du parti écologiste Groen a bravé, il y a quelques jours, le tabou progressiste autour du comportement de jeunes d'originem allochtone. Vander Taelen, qui est un mordu de vélo pour ses déplacements en ville, est chaque jours confronté sur son parcours dans son quartier à majorité maghrébine à d'innombrables insultes et agressions. Sa fille a définitivement abandonné ses courageuses tentatives de se promener dans le quartier, elle y a subi trop d'insultes que la décence interdit de citer. Vander Taelen constate qu'il a lutté pendant vingt ans pour le multiculturalisme et l'intégration, mais qu'il doit admettre qu'aujourd'hui, à Bruxelles, il existe une génération de "rebels without a cause", qui se sentent par définition dépités et lésés, qui ne sont jamais responsables de rien
Et pour lesquels tout problème est la faute des autres.(…)
Karen Van Gotsenhoven, une journaliste spécialisée dans la mode s'est installée, avec quelques femmes courageuses, près de la gare du MIDI. Ces jeunes femmes ont eu l'occasion d'apprendre en un minimum de temps tous les mots en arabe ou en berbère les qualifiant de putains. Elles se sentent "prisonnières dans leur propre demeure". Pas question d'entrer dans un des cafés du quartier, où on ne trouvera jamais une femme, pas question non plus de s'arrêter dans la rue. Ces témoignages de gens progressistes indiquent l'extrême urgence qu'il y a à demander le respect pour les valeurs essentielles européennes."[1]
Après la plus grande horreur du monde occidental, la guerre fasciste du National-socialisme et du communisme stalinien contre l'Europe (6O millions de morts dont 6 millions de juifs assassinés par la SHOAH), l'Organisation des Nations-Unies (ONU) a été créée en 1945 aux Etats-Unis. En 1948, elle a proclamé la chartre de nos valeurs basée sur celle de la révolution française de 1789 pour la sauvegarde de l'humanité de son autodestruction : la déclaration universelle des droits de l'homme.
Il ne s'agit plus cette fois de dogmes religieux pour lesquels les hommes s'étripent depuis des millénaires mais de valeurs issues du monde occidental pour réunir les hommes (et les femmes sont des hommes), c'est ce que nous avons de plus "sacré", nous les incroyants.
Fuyant la misère économique du tiers-monde dûe à l'exploitation capitaliste appelée aujourd'hui néolibéralisme, des vagues de populations migrantes déferlent sur l'Europe pour profiter de ses richesses. Il y a des hommes et des femmes de grande qualité dans le monde musulman, tout comme chez nous, qui ne sommes plus rassemblés par la seule chrétienté. L'islam a eu une influence positive en Occident lors de la période du monde arabo-musulman de Cordoue et des grands sages, comme Averroès (Ibn Rushd 1126-1198) : "le Coran est une prescription à connaître et non seulement à croire", soit la raison au cœur de la foi. Le problème sociétal de la postmodernité est qu'une toute petite frange d'islamistes fanatiques ne veulent pas des droits de l'homme et veulent agressivement nous imposer leurs valeurs rétrogrades basées sur la pseudo-infériorité des femmes. Pour nous, avec l'adage "Liberté-Egalité-Fraternité", la femme est un homme comme les autres.
"Ma première rencontre avec la gauche obscurantiste remonte à Durban, lors de la conférence mondiale contre le racisme organisée par les Nations unies du 28 août au 7 septembre 2001. Moins de dix ans après la fin de l'apartheid, les forces antiracistes du monde entier s'étaient donné rendez-vous au cœur de l'Afrique du sud.(…)Je suis arrivée en rêvant d'y trouver les forces progressistes qui permettraient de construire un monde plus juste au XXI° siècle. Et je suis tombée nez à nez avec des fanatiques voulant nous ramener au Moyen Age. Plus exactement aux années trente. Loin d'être un moment de communion antiraciste, le forum des ONG de Durban s'est révélé être un vrai foyer d'agitation antisémite et pro-islamiste."[2]
Lorsque que, dans nos démocraties, de jeunes maghrébines téléguidées par leur père et frères utilisent avec le foulard HIDJAB nos institutions parlementaires ou d'enseignement comme tribunes, elles n'ont que faire, brebis bien soumises aux mâles, de respecter notre sacré laïque et nos normes pluralistes qui demandent, pour cohabiter dans la paix de l'esprit, de n'avoir aucun signe religieux ostentatoire dans les institutions de tous.
Lorsque nous allons visiter une mosquée, nous nous déchaussons, de même dans les églises, nous nous découvrons en enlevant nos chapeaux par respect pour les fidèles mais ce ne sont pas nos coutumes ni nos croyances. Imaginons des européennes faisant du topless à St Tropez (une pratique courante depuis plus de quarante ans) faire de même sur les plages marocaines sous prétexte qu'elles ont payé leurs vacances ? Je fais l'hypothèse que cela créerait un petit scandale car la tolérance n'est pas une valeur du Moyen-âge maghrébin.
Pourtant, chez nous à Bruxelles, les marocains se baladent comme chez eux en djellabas (l'opportuniste Philippe MOUREAU également), foulard, niquab, tchador, burka et ne se donnent jamais la peine de chercher à comprendre notre culture (la musique des grands maîtres allemands, la littérature, les sports d'eau, la sexualité joyeuse, l'art du vin et de la table,…). Un ami dont la fille a épousé un maghrébin me confiait que lorsqu'il allait chez son beau-fils, il devait apporter son vin et son tire-bouchon car celui-ci - qui ose en plus se déclarer El Hadj (le Saint ayant fait le pèlerinage à La Mecque) - ne voulait pas commettre de péché : quelle offense faite ainsi à son beau-père par obscurantisme. Transposons cela sur leur territoire et cela reste toujours inimaginable comme manque de respect aux ainés ! Pourquoi être chez nous ? Juste pour prendre l'argent (du CPAS ou du commerce) et l'envoyer par la Western Union dans leur vrai pays et pour le reste vivre entre-eux dans un ghetto voulu ?
A Bruxelles, un belge sur 3 est marocain et on prédit avec la démographie galopante que ce sera plus tard 2 sur 3, ce qui suscitera un retour réactif de l'extrême droite et des guerres barbares et racistes, comme le prédit Jacques RIFFLET. [3]
Rappelons quelques "vérités" (non pas révélées mais expérimentées et/ou votées) à opposer aux rigidités religieuses moyenâgeuses :
N'en déplaise aux révisionnistes, il y a bien eu des camps d'extermination des juifs par les nazis avec des preuves multiples et tangibles ainsi que les récits des rescapés;
Le créationnisme est une fable pour les gens simples et ne tient plus la route face à l'évolutionnisme de Darwin (sauf chez les protestants évangéliques américains);
Les communautés humaines créent des nations souveraines (là où le temporel est séparé du spirituel, dans les démocraties) et se donnent des institutions qui votent des lois qu'il faut respecter, comme par exemple l'interdiction de battre sa femme, le droit à l'IVG et à l'utilisation des préservatifs contre le HIV, le droit à l'homosexualité et la non obligation d'être religieux par la terreur;
le racisme est impossible car il n'y a qu'une seule race humaine HOMO SAPIENS SAPIENS tandis que l'ostracisme est plus basé sur l'agacement des coutumes différentes qui ne se respectent pas que sur la couleur de la peau; donc restons néo-anticolonialistes et chassons les envahisseurs;
un seul racisme peut exister : c'est celui portant sur la non égalité des genres sexuels; dans le monde arabo-musulman, les femmes n'ont pas un statut et une liberté égale aux hommes; dans le monde indochinois, des appareils d'échographie sont installés dans des "boutiques" de n'importe quel village pour avorter les fœtus de petits filles moins valorisées par les traditions. Rappelons également, que chez nous en Belgique, la femme mariée n'a acquis la capacité juridique qu'en 1974.
Rappelons pour mémoire l'article premier de la déclaration des droits de l'homme : "Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits", ce qui veut dire, pour les sourds et les malentendants, qu'une femme peut porter des jupes courtes et des décolletés et aller le soir au café comme les hommes, ou encore à la piscine en bikini, voire en monokini sur les plages même s'il y a des hommes. Qu'une femme peut recevoir des soins médicaux d'un médecin homme sans la permission spéciale et la présence de son époux. Qu'en Turquie, en France et en Flandres, le voile HIDJAB est interdit dans les institutions publiques d'enseignement pour ne pas vivre à côté des autres sans communication mais bien avec les autres sans provocation avec des signes ostentatoires d'appartenance à un groupe oppressif. Notons en passant - parce que j'en ai un peu mare d'être tolérant sans retour de ceux d'en face - que les écoles religieuses (catholiques ou coraniques) sont un scandale de manipulation psychique de jeunes enfants malléables qui font ainsi des choix dirigés et non dans la maturité de l'être. Il faudrait enseigner toutes les religions ainsi que la morale laïque pour permettre un choix serein et non une inculcation sournoise.
La communauté immigrée marocaine se comporte très mal à Bruxelles (je ne parle pas des autres musulmans du monde, présents à Bruxelles, que l'on n'entend jamais troubler l'ordre public) où des jeunes excités donneurs de leçons critiquent agressivement les valeurs humanistes des autochtones :
"Aujourd'hui, 11 novembre 2009, sur les marches de la Bourse de Bruxelles, était organisée une manifestation pour le voile à l'école. Une bonne centaine de jeunes filles, accompagnées par des personnes plus âgées, toutes voilées, étaient encadrées par un service d'ordre de jeunes musulmans. Curieux des réactions qu'ils pourraient avoir, j'ai immédiatement été chercher mon chapeau "Dieu n'existe pas", et je me suis planté sur la deuxième marche de la Bourse, juste assez haut pour que l'on me remarque. Une jeune personne, très poliment, m'a accosté, style : "bonjour, que faites-vous ici ?" J'ai expliqué que je venais voir leur manifestation. Au jeune homme se sont ajoutées plusieurs autres personnes qui m'ont demandé de partir. J'ai répondu que je ne manifestais pas, et que si mon chapeau était visé, je le portais fréquemment. Qu'il était en quelque sorte mon voile à moi. J'y ai ajouté, que si j'étais apostrophé désagréablement, par des passants, j'étais dans la même position qu'une femme voilée, qui se fait insulter dans la rue par des racistes intolérants.
Quelques personnes, moins dans la nuance sont devenues verbalement agressives. Menaçant : "Ce serait mieux que tu partes tout seul" Quelques filles musulmanes sont venues à mon secours. J'ai évité les discussions sur le bien ou le mal du port du voile. J'ai préféré mettre l'accent sur : mon chapeau perturberait à l'école et cela pourrait créer des tensions dangereuses. Vous connaissez ma position : il faut interdire mon chapeau à l'école, accompagné d'une interdiction de tous les autres signes d'appartenance religieuse.(…) A peine ces paroles dites, quelques individus se sont jetés sur mon couvre-chef l'ont déchiré et piétiné. En me sifflant, et en me criant dessus. Comme j'étais, peu après, interviewé par une télé, ils sont venus perturber l'enregistrement. Au grand malheur de ma charmante interlocutrice voilée." FRANK (reçu le 16.11.09 sur Outlook).
Commentaire : "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit." (Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme autorisant les caricatures, sans subir des représailles violentes).
Rappelons que notre choix de société est basé sur les Lumières et l'adage de la révolution française de 1789 : "Liberté – Egalité – Fraternité". Certains maghrébins vont même jusque se servir du concept de liberté en utilisant ce terme hors de son contexte des droits de l'homme. Nos élus à vie nous dirigent mais ne nous représentent plus et leur préoccupation n'est plus pour l'intérêt général mais pour la chasse aux voix (à Moolenbeek par exemple).
"On pourrait penser que, assimilant ceux que j'appelle "nos" responsables à des bergers qui doivent répondre de leur troupeau, j'associe la question de la bêtise avec ce que l'on appelle le "pouvoir pastoral" qui implique un dirigeant ayant reçu mandat d'assurer le salut de ceux qu'il doit guider.
Or la bêtise est plutôt ce qui reste de ce pouvoir lorsqu'il n'y a plus de mandat, ou lorsque n'en subsiste qu'une version indigente, mettant en scène une humanité récalcitrante, toujours prête à se laisser séduire, à suivre le premier charlatan, à se laisser berner par le premier démagogue. Nos responsables ne sont pas des pasteurs parce qu'ils ne nous guident "vers" rien.(…)L'illusion serait ce qui voile la lumière, ce qui nous sépare de la vérité. De quelle vérité il s'agit dépend du porte-parole, mais le point de convergence est la nécessité impérieuse de dissiper les nuages, de "dévoiler", "démystifier", ne pas être dupe. Or ce qui peut frapper, dans nos pays" modernes" tout au moins, est le manque de résistance, la quasi-résignation de ceux qui sont censés incarner ce qui nous sépare de la vérité."[4]
Retraité, j'aime vivre chez mes amis musulmans du Mali. Ils ont gardé la tradition de l'accueil et de la courtoisie entre honnêtes hommes. Mes amis savent que je suis athée (athéisme avec a privatif veut dire sans religion et donc tolérant à toutes celles qui ne s'imposent pas par la force). Je voudrais que mon pays puisse aussi être accueillant mais pas poire. Par exemple accueillir des arméniens, des kurdes et des turcs sans qu'ils viennent ensanglanter nos rues pour se battre entre eux. Accueillir les musulmans modérés d'Asie et d'Afrique noire en souhaitant le métissage bon pour nos gènes et pour l'humanité en paix.
Mais, je suis antifasciste, donc je ne veux plus accepter que des jeunes marocains sans scrupule épousent des filles belges pour avoir la nationalité belge puis s'en séparent en kidnappant le bébé; je ne veux plus que des jeunes filles marocaines scolarisées ici soient en vacances au pays les victimes de leur père avec des mariages arrangés (sans distinction des générations), je ne veux pas 30% de maghrébins dans nos prisons surpeuplées mais leur expulsion pour incivisme, je ne supporte pas la ghettoïsation voulue aux alentours de la gare du Midi, que ce soit toujours le même peuple qui donne et les autres qui agressent les autochtones en se croyant chez eux puisqu'ils ont crée un ghetto où ils sont majoritaires. Je ne supporte plus que dans nos écoles, les étudiants qui manquent de respect aux enseignants soient à plus de 90% des maghrébins qui pourrissent l'ambiance de cet apprentissage dont ils auraient le plus grand besoin.
Je souhaiterais une intégration sociale honnête et respectueuse de chaque côté, soit que les maghrébins fassent quelques efforts pour connaître la culture du pays qui les nourrit. J'ai très peur pour l'avenir et la sécurité de mes enfants et petits-enfants car toutes les guerres sont stupides et il s'en prépare une de grande taille :le réveil de l'Archange St Michel et de l'extrème-droite (style Le Pen) qui massacrera sans effort mes frères musulmans. Mon cœur étant à gauche (donc pas au PS), à ce moment-là, je défendrai le monde musulman mais pas maintenant, plus maintenant lorsque je comprends l'hypocrisie des leaders de la djihad comme les prêches de Tariq RAMADAN.[5]
J'étais pour l'accueil dans la dignité des sans-papiers mais aujourd'hui je m'interroge; je voudrais que les marocains dealers non intégrés retournent dans leur pays avec leur Mercédès, prix des assuétudes de nos enfants et nous restituent notre indépendance. En psychologie sociale, lorsqu'un nouveau groupe de rats immigrés dans un plus ancien atteint 30%, il y a conflit entre les deux groupes.
Rappelons ce que nous écrivions au début de cette réflexion : à Bruxelles, un belge sur trois est marocain (des voix pour les politiciens sans âme). Etant donné la différence de fécondité entre les natifs et les immigrés, dans moins de 20 ans, nous serons minoritaires chez nous comme le dit cyniquement TARIQ RAMADAN, barbare aux portes de Rome. "L'islamisme" désigne non pas la religion musulmane mais l'idéologie politique réactionnaire et intégriste produite au nom de l'islam." (Catherine FOUREST).Nos partis ne nous représentent plus et nous allons avec eux et leurs intérêts perso en marche arrière vers la tentation obscurantiste. Notre majorité laïque s'endort et des jeunes ne s'éveillent pas à la Résistance démocratique, l'humanité va vers son autodestruction car Allah le veut "Inch-Allah !".
"L'algue peut se satisfaire d'être bercée par le flux et le reflux de la vague. En végétal qu'elle est, il est vrai, elle n'a guère le choix, sinon de "profiter" du milieu. L'homme lui possède la conscience. Qu'elle émane d'un don généreux – d'aucuns diront pervers – d'un Divin ou qu'elle soit façonnée par les hasards de l'évolution. Cette conscience ouvre à l'humanité les portes superbes de la réflexion, arme de la pensée. L'homme a le choix de se demander ce qui le meut, le nourrit, le berce ou le détruit. Il peut dépasser la vague locale qui le submerge et saisir qu'elle vient de loin, de très loin, et qu'elle ira mourir sur un rivage comme toutes ses sœurs."(Jacques RIFFLET)[6]
Jean-Marie Lange,
Dr en Education permanente,
18.11.2009
[1] De TROYER Jan, directeur de TV Brussel, Prisonner dans sa propre demeure ? http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/533401 du 05.10.09.
[2] FOUREST Caroline, La Tentation obscurantiste, Paris, Biblio essais, 2009, P.17 et 18. "Comment expliquer qu'une certaine gauche perçoit l'islamisme comme le nouveau danger totalitaire, un fanatisme en guerre contre les libertés individuelles, les droits des femmes, la laïcité, la démocratie ?"(p.49)
[3] RIFFLET Jacques, Les mondes du sacré, Bruxelles, Mols, 2009 : " La question sera "éternellement" ouverte ; l'inconscient collectif est-il le fruit d'un message fondamental lié au divin, ou au contraire que le divin est la preuve apaisante de l'angoisse humaine – "la religion est une névrose collective" écrivait FREUD - , un phénomène lié à une démarche d'immanence ?"(p46)
[4] STENGERS Isabelle, Au temps des catastrophes, Paris, La Découverte, 2009, P.154 & 144-145.
[5] FOUREST C., Frère Tariq, Discours, stratégie et méthode de Tariq RAMADAN, Paris, Grasset, 2005.
[6] RIFFLET Jacques, ibid., p.37.
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