mardi 14 décembre 2010

GAVé

GROUPE D’AUTOFORMATION PSYCHOSOCIALE
Association pour le développement de l’autonomie et de la participation sociale
Siège social : 40, rue Saint-Lô, BE 5060 FALISOLLE,
Site : http://soutien.et.autonomie.free.fr
Président Patrick LECEUX 0496/627678 patrick.leceux@mac.com
Coordination pédagogique: Jean-Marie LANGE gap.belgique@skynet.be
DEXIA : 068-2426901-85; IBAN BE89 0682 4269 0185 BIC GKCCBEBB
Site : http://soutien.et.autonomie.free.fr;


Le GAP est un opérateur de terrain qui se réclame de l'application des droits de l'homme et ne se référe à aucune confession et à aucun parti politique.

Son objectif est double :

- proposer en Europe (Allemagne, Belgique, France,…) des formations de cadres en groupe dans une optique d'autoformation, d'autonomie ou des accompagnements individuels de style coaching, gestalt, thérapie familiale, histoires de vie,…

- avec les bénéfices engendrés, financer dans le Tiers-monde
des projets éducatifs dits "intégrés" allant
de l'alphabétisation à l'autonomisation économique d'un village en collaboration
avec des équipes in situ qui nous
permettent de contrôler la faisabilité et l'évaluation de ces projets.


VOYAGE D'ETUDE AU MALI pour de nouveaux projets

Intervenants bénévoles : Marie-Claire et Jean-Marie LANGE – janvier 2009

Préambule

AWA, 10 ans apprend très bien à l'école. Lorsqu'elle rentre à la maison, alors que ses frères branchent la TV, elle essaye de faire ses devoirs. Mais sa mère et sa grand-mère, les femmes de la maison, l'appellent pour les aider dans les tâches domestiques. AWA est plus intelligente que ses frères mais ne fera pas - par "manque" de temps - des études. Est-ce cela que l'on appelle émancipation féminine dans le tiers-monde ? (Bandiagara - Mali - janvier 2009)

Par rapport à nos expériences GAP asbl de 2007 et 2008, nous avons constaté que même si de nombreux objectifs ont été atteints au Burundi, le premier d'entre eux "l'éducation des petites filles" n'a pas pu être rencontré car cet enjeu est massivement investi par les Eglises Evangéliques et relativement peu par l'Etat que nous aurions aimé soutenir.

Un second axe a germé dans nos têtes suite à notre tour sans contrainte du Mali, c'est l'émergence des voyages touristiques équitableschez l'habitant, un bel échange culturel certes mais nous nous demandons si, dans toutes les pratiques actuelles les sommes réclamées à des touristes souvent peu fortunés vont bien en majorité dans les poches des autochtones et si eux-mêmes, les dits touristes écologiques ne seraient pas un peu exploités ? Après analyse, nous lancons le projet martyr GAVé "Groupe autonome pour des voyages équitables" filiale du GAP et qui pourrait enrichir le GAP formation comme le GAP interventions humanitaires, à l'instar de notre bimensuel en ligne le CAPI (Cahiers d'Autoformation et de Pédagogie Institutionnelle)

Le pré-projet GAVé

Analyse

Voyageurs au Tiers-monde par passion depuis 40 ans, nous avons découvert une organisation à Mulhouse (France) qui peut organiser des circuits chez l'habitant pour 1450 euros/personne (dont 650 euros prévus pour l'avion) pour 15 jours de découverte. Mais quelle est la part de ce prix qui va vraiment aux popuplations pauvres de l'accueil ? et n'est-ce pas d'une certaine façon "racketer" des touristes peu argentés qui ne savent pas ce que c'est que de vivre dans une favela sans eau, ni électricité, ni égoûts ?

Tout commence par le manque d'égoûts : dans les fosses septiques, comme dans les marigots d'eau stagnante riches en déchets organiques en décomposition, les larves de moustiques pullulent avec des variétés de plus en plus resistantes aux anti-paludéens ainsi que les asticots de belles et grosses mouches bleues qui se nourrissent du contenu des fosses septiques et après leur éclosion viennent poursuivre leur alimentation gourmande sur les étals des boucheries, car pas d'électricité = pas de frigo. Les mouches gavées se bougent pareseussement de cette viande exposée à un soleil magnifique depuis le matin lorsque le boucher secoue les carcasses pour en faire des morceaux pour brochettes. Celles-ci ne sont pas toujours bien cuites et les toubabous (blancs) trompés par la bonne odeur de viande grillée souffriront de dysentries, leur flore intestinale n'étant pas adaptée c'est-à-dire blindée.

Le touriste abonné à la fosse d'aisance (qui doit servir à tout le monde) dormira dans des lits aux matelas le plus souvent douteux et régulièrement en compagnie de souris et de rats vexés de cette intrusion chez eux. Il n'y a pas de méchanceté mais tout simplement les normes d'hygiène occidentale restent mystérieuses voire incompréhensibles pour la plupat des autochtones de bonne volonté.

Pourquoi ne pas penser un système plus équitable où le touriste demandeur de contacts culturels ne serait pas abusé par un voyagiste ? Lorsque l'on voyage seul en finançant un véhicule avec chauffeur expérimenté, le salaire journalier de celui-ci est de 5000 FCFA/Jour soit 7,6 euros, soit 190 euros pour un mois de jours ouvrables ! Nous, nous payons par éthique toujours le double mais sans ostentation dans le respect de la dignité de la personne (achat de meubles, repas partagés, chambre pour chauffeur, primes, congés payés, etc….). Et nous nous proposons de faire la même demarche pour les touristes de bonne volonté, c'est-à-dire ne pas les loger – comme Nouvelles Frontières [1] l'a fait avec nous – dans des bordels crados mais dans des campements ou des motels propres et équipés d'un confort minimal : une toilette pour y mettre les fesses et de l'eau chaude pour se doucher réellement.

L'essentiel est dans un voyage de partager le contact humain, les cultures et les ressources et non d'inverser l'exploitation de l'homme par l'homme pour exploiter aussi les toubabous. Par exemple si le voyageur paye 650 euros un billet A-R AIRTUNISIE, il importe que, dans les 800 euros de budget restant, des frais raisonnables soit prélevés pour l'intérêt de tous mais qu'il en ait malgré tout pour son argent. Par exemple, le trajet Bamako-Sévaré en bus est peu coûteux alors que dans un minibus privé, pour quinze jours il faut prévoir 300.000 FCFA de carburant, 200.000 de location du véhicule pendant cette durée et 140.000 pour le chauffeur. Il en va de même pour des repas sans steack de mouches et avec des installations hôtelières minimales.





Découverte citoyenne du Mali authentique avec le GAVé – Groupe Autonome pour des voyages équitables.

Rappel : Le Groupe d'Autoformation Psychosociale – GAP est une asbl loi de 1921 dont les statuts ont été déposés en 2005, le GAP repose sur la finalité d'être une association pour le développement de l'autonomie et de la participation sociale en développant deux objectifs généraux:
1) Des formations de cadres compétitives et participatives.
2) Le développemenet d'associations autogérées et équitables au Tiers-monde.
Le "GAVé" est un objectif opérationnel du second objectif général.

Nous demandons 800 euros par personne pour le circuit, cette somme comprend les déplacements, les repas et les logements (pas les boissons) ainsi que la totalité des frais de l'accompagnateur/trice. La transparence des comptes sera totale : une somme forfaitaire de 50 euros pour les projets humanitaires du GAP sera prelevée comme unique frais de dossier (au Burundi, les jardins de Kayoba, l'atelier couture de Makamba et les fours solaires des écoles et de la maternité et au Mali, la conception de l'école laïque des filles) soit la cotisation de membre de soutien à notre asbl. Le trop perçu du budget sera retrocédé aux voyageurs équitables. Il est toutefois laissé au libre arbitre de chacun de soutenir les écoles des villages les plus démunis non en donnant aux enfants (apprentissage de la mendicité) mais au maître d'école. Lors de l'étude de la faisabilité du projet, nous avons laissé par couple 10 euros/école à chacune des 3 écoles vues au pays Dogon, ce qui n'est pas énorme…pour nous.

Budget prévisionnel : 10 jours (9 nuits)
- Bamako : Hotel Aquarius 25.000 FCFA (chambre double avec climatisation) : une nuit
- Barrage de Sélingué, gîte Yaala 9000 FCFA (case confort) : 2ème nuit
- Sikasso : Le WASSOULOU, Motel 16.000 (clim) : 3ème
- Mopti : Le Campement , 20.000 (ventilé): 4, 5 ème, 6ème et 8ème.
- Bandiagara : Le KAMBARY (cheval blanc) hôtel, 20.000 (ventilé) : 7ème
- Ségou – Hotel DJOLIBA, 20.000 (ventilé) : 9ème,

Soit 170.000 (chambre double donc divisé par deux )= 85.000 FCFA divisé par 655 = 128 euros/p
- Transport interne:
- location véhicule dix jours : 200.000
- carburant : 300.000
- salaire chauffeur : 60.000, soit 560.000 "transport interne"divisé en 4 personne au minimum = 140.000 : 655 = 213 euros/p
- Nourriture (lunch tartines + un repas restaurant plat du jour midi ou soir ) évaluation moyenne 200.000 pour 10 jours, soit : 300 euros/p
Prise en charge de l'accompagnatrice : logement une part, nourriture une part = 128+300 = 428 : 4 = 107 euros.
Cotisation GAP – frais de dossier 50 euros/p
Au total Logement : 128
Transports : 213
Nourritures : 300
Frais guide: : 107
Dossier : : 50
===
798 euros.(Tout compris sauf vol A-R Bruxelles-Bamako et les boissons)/
















1er jour

Aéroport de BAMAKO, vous êtes pris en charge par un membre du GAP. Selon l'heure d'arrivée effective du vol, le groupe de 4 à 7 personnes (+ le chauffeur+ l'accompagnatrice = 9 max) sera soit déposé à l'hôtel AQUARIUS tout nouveau, très proprr et situé un peu avant le pont accédant à la vieille ville de Bamako (genre en-dehors du périphérique parisien) pour une nuit récupératrice soit un débarbouillage avant la visite de la capitale, du marché central, des quartiers commerçants autour de la mosquée, du nouveau musée, etc. En cas d'arrivée tardive, la visite de la ville se fera le lendemain matin.
Votre accompagnateur/trice parlant français reprécisera l'objectif humanitaire du GAP et notre volonté d'un tourisme équitable pour tous, entre les gavés et les affamés, c'est-à-dire avec un contact authentique envers les populations rencontrées et un tact exquis (pas de photo si les gens ne le désirent pas, etc.) mais sans pour autant galérer chez un autochtone sympa dont les normes sanitaires pourraient être très différentes de celles des toubabous (blancs).

2ème jour (2ème nuit)

Départ pour le sud et la frontière guinéenne et les endroits de villégiatures des autochtones nantis avec la visite du barrage hydroélectrique de Selingué, de la fraîcheur arborée de la région et de l'exploitation de poulets en autarcie (fientes et bouses des boeufs fertilisant les cultures fourragères, etc.), de Monsieur Bounafou Sanogo, agriculteur (et ingénieur hydraulicien), visite du marché local. Nuit au gîte de passage YAALA (très propre, sanitaires corrects, douches, …) .


3ème jour (3ème nuit)

Reprise de la route sud-est en "goudron" (asphalte) vers le centre du pays SENOUFO et son chef-lieu SIKASSO, ville anciennement fortifiée où on distingue encore la muraille TATA entourant la ville forteresse qui permettait à des cavaliers de protéger la ville avec en son centre le mamellon petit terte de terre de 30 mètres de haut édifié par le roi TIEBA. Ce sera sur le flanc du mamelon (avec les tables inclinées) que nous déjeunerons dans une gargotte dénommée "Les Amis" (près de la banquet BCEAO). Nous recommandons le poisson capitaine avec comme accompagnement des bananes plaintains frites (l'aloko).
Gargoutte "Les Amis" au flanc du mamellon, tables penchées.

Après déjeuner, visite de la ville et de ses alentours : le centre culturel et le musée SENOUFO tenus par un père blanc espagnol passionné d'anthropologie comparée, puis les grottes de MISSIROKORO (12 km de la ville) avec d'un côté un autel animiste et de l'autre un ermite marabout. Nuit au motel WASSOULOU.

MISSIROKORO

Le WASSOULOU

4ème jour (4ème nuit)

Longue journée de déplacement vers le N-E avec un arrêt technique pour déjeuner à KOUTIALA (pays des Mynyanka) vers 13 h dans une gargotte fonctionnelle (aucun charme) de la gare routière.
Puis reprise de la route (7 heures au total) pour arriver à la Venise du Sahel : MOPTI. Installation au campement rénové (ventilé).

5ème jour (5ème nuit)

Visite de la ville de MOPTI, mosquée de LOMOGUEL (1933 en banco), promenade en pinasse, les quartiers chics le long d'une allée bordée d'arbres le long du fleuve (jusqu'à l'hôtel le plus luxueux "Le Kanaga" où l'on peut prendre un verre éventuel, visite du quartier pauvre des pécheurs BOZO (huttes en végétaux) avec un pont piétonnier à péage (15 centimes d'euros par personne soit 100 francs CFA). Déplacement dans la ville voisine plus calme et moins touristique de Sévaré où l'on peut diner à la gargotte "c'est délicieux" sur la route 201 un peu avant l'embranchement à gauche pour l'aéroport local. Nuit au Campement.


Mosquée


6ème jour (6ème nuit)

L'accompagnatrice aura prévu des panniers repas avec du pain frais et des petits suisses pour le midi, nous partons pour la grande mosquée de DJENNE de l'autre côté du bras du fleuve Niger, le Bani. Une vingtaine de kilomètre puis un bac pour traverser et la magie du site ensuite. Retour au campement de Mopti en fin d'après-midi.

7ème jour (7ème nuit)

Départ pour le pays DOGON par le nord, la route de DOUENTZA (prendre un guide dans la ville) pour visiter à 4km après la ville (en direction d'HOMBORI) le village de FOMBORY (petit musée ringard) et surtout ses nécropoles dans les rochers en surplomb. Attention aux guides illustrés de chez nous, selon le Petit Futé Mali 2010, le village de Borko (50 km avant DOUENTZA en venant de Sévaré) est réputé pour ses caimans sacrés.
Ce lieu est déjà à éviter car investi par des jeunes requins qui depuis février 2009 veulent racketer les touristes. Admirez sur le trajet, le désert de Pierre noire. Demi-tour vers le sud et la ville de Bandiagara : visite d'un village DOGON jouant la carte touristique mais bien cadre et accessible, SONGO et son célèbre auvent aux peintures rupestres. Nuit et diner à l'hôtel Le Kamabary (cheval blanc) construit par un célèbre architecte italien en alcoves de briques évoquant les huttes BOZO mais avec le confort nécessaire.

Songo


"Le cheval blanc" Bandiagara

8ème jour (8ème nuit)

Les villages de la falaise de Bandiagara (Sanga, Banani, Ireli,..;) sont un peu saturés par le tourisme et la mendicité systématique des enfants est un peu lourde (ils connaissent deux mots français "bics bonbons !"). Après notre initiation de la veilleau style village DOGON et aux magnifiques points de vue, nous partons vers des villages DOGON méconnus, ceux du plateau (piste de terre et de sable), des villages très beaux et préservés comme ceux de NIONGONO, village fortifié sur un pic rocheux où des cultivateurs récoltent des calices d'HIBISCUS servant à la préparation de la boisson rafraîchissante BISSAP et de NANDO. Il faut aussi goûter une petite céréale, plus petite que le mil, le FONIO, spécifique du pays DOGON et délicieuse. Visions inoubliables.
NIONGONO

NANDO

Retour vers la route de DOUROU, là où le véhicule doit s'arrêter (au-dessus de la falaise) pour une promenade de 9 km à pieds pour visiter le site impressionnant de NOMBORI et le village d'IDJELI.

"La piste partant de Bandiagara vers KORO passe la ligne de la falaise à Yawa en laissant Dourou un peu sur la droite (en effet, à 1,5 km) et cette piste se prolonge sans discontinuité à NOMBORI. Lorsque, dans un de nos précédents voyages, nous avons marché de Sangha-Banani jusque Nombori (3 jours), nous avions le souvenir que les véhicules nous attendaient à Yawa (au sommet de la falaise) et de même sur la carte Michelin et une autre de Ouagadougou comprenant cette région, NOMBORI n'était pas praticable même en 4x4. Forts du document le plus recent du guide "Le Petit Futé", nous avons pris le risque de descendre avec notre 4x4 et un chauffeur expérimenté la passe rocheuse, puis nous avons en quelque sorte émergé au sommet d'une énorme dune de sable où notre véhicule par la gravitation a glissé plus que d'avancer vers le fond de Nombori, une nasse, un piège à poisson irremontable, cette opinion étant partagée par mon épouse et notre ami malien chauffeur (nous avons tous les 3 la soixantaine). Nous avons donc demandé conseil aux gens du cru qui nous ont conseillé la piste d'âne de la plaine du Seno qui longe les villages Dogon, soit en remontant jusque Banani puis Sangha, soit en contournant longuement la dune, ce qui fut fait pour revenir sur la passe rocheuse et remonter la falaise.

Et c'est là à YDELI-NA, le village voisin que le piège à touristes récent vient d'être installé à partir de ce caprice de la nature de cette grande dune. Nous passions entre des rochers effleurant notre carrosserie et des champs d'oignons et à un moment, 2 champs d'oignon clôturés trop près l'un de l'autre ne permettaient plus l'usage de la piste par un véhicule moteur. Nous avons dû réussir un tour arrière dans la caillasse (de grands rochers coupants) pour contourner les champs illicites (les bâtiments de la mairie sont à 200 m) et retrouver la piste dans le sable, mais nous avons alors été ensablés dans une petite dune. A la rapidité avec laquelle les villageois nous ayant bloqué avec leurs champs à contourner venaient proposer de nous pousser, nous avons supputé tous les trois l'arnaque. Elle était similaire à celle que nous connaissions du Congo-Zaïre dans les années 1970 où des villageois abattaient un arbre pour couper la piste et se faisaient payer pour déblayer l'obstacle.

Notre chauffeur, après des marches arrières, a réussi à se désensabler et à reprendre la piste de contournement de la grande dune, vierge de toute trace de pneus. Nous avons eu de la chance !"
NOMBORI

Retour en soirée vers le campement de MOPTI.

9ème jour (9ème nuit)

Retour vers la capitale Bamako (à environ 600 km de route en direct) avec arrêt à Ségou, très jolie ville aux 2/3 de la route et visite d'une coopérative autogérée de femmes et fabriquant des tapis laine/coton avec double noeuds (comme en Iran) d'une haute qualité et d'un prix démocratique dans le quartier peu connu de Médine. Nuit en chambre ventilée au DJOLIBA (surnom du fleuve Niger), hôtel tenu par un allemand.

SEGOU

10 ème jour

Arrivée détendue à Bamako, déjeuner dans le quartier de l'hippodrome à la gargotte "le Pili-pili", après-midi libre puis dépose à l'aéroport pour l'enregistrement des bagages.

[1] En 1988 Viviane, Marie-Claire, Claude et Jean-Marie, nous avons vécu cette galère dans un voyage qui promettait en outre dans son intitulé "papier glacé" d'atteindre TOMBOUCTOU dans les mois d'été, ce qui est rigoureusement impossible sauf par avion (publicité mensongère).

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